La presse locale, que nous ne nommerons pas, publie en page 3 du « spécial municipales » un article « bien-pensant », où le vainqueur du jour n’a pas eu ce qu’il méritait, à savoir une victoire plus prononcée encore …
Chacun devinera l’auteur de ces quelques lignes, penseur du seul côté droit, comme son mentor… et qui n’a pas signé son article !!!! espérant nous faire croire à de la neutralité…
Quelques remarques cependant…
Notre équipe est composée de personnes du centre et de gauche, ainsi que de candidats « sans étiquette », mais au coeur et à l’esprit tolérants : C’est sans doute pour cela que notre liste est qualifiée « de gauche » (le scribe pensait sans doute même gauchistes…).
Un cours d’éducation civique lui ferait le plus grand bien…
La victoire avec 50.15 % est quasi éclatante, bien plus prononcée qu’avec 45 % il y a 7 ans, et pourrait être plus resplendissante si le climat national actuel n’avait pollué l’aura de ces fiers candidats… On croit rêver…
…et finalement, cela aurait permis de grignoter un siège à l’opposition…, et donc bien sûr de lui retirer toute la légitimité de ses 49.85 % et de justifier bien sûr les pleins pouvoirs à venir au futur Maire, démocrate de papier, autocrate d’action…
Permettez-nous donc cher lecteur, de faire crisser la plume, en nous disant qu’à 3 voix qui basculaient de Perelle sur Renaudin, nous serions passés de la gloire actuelle du phénix, à la détresse d’une défaite injustifiable.
Ce n’est certes pas le ton de l’article de presse cité, mais sans doute ce que nous aurions pu constater…
Prenons le parti de continuer à rire de cette farce de papier… et de nous dire que le « bastion de droite », s’il n’a pas basculé, a bel et bien vacillé, et verra sans doute, lors du prochain scrutin , enfin des démocrates aux services de leurs concitoyens…
Et bien non, le papier non signé, n’a pas été rédigé par le plumitif local, mais par le directeur départemental de l’Est Républicain, Fernand Doyen et les analyses sont de Jean Claude Midon journaliste et directeur adjoint… Le scribe de base n’aurait d’ailleurs pas prêté de tels propos au maire de Saint-Mihiel : » Mais nous avons perdu un nombre plutôt conséquent d’électeurs », sachant qu’entre deux élections municipales, la majorité perd 10 voix seulement, quand l’opposition réunie en perd 182 !
Que ne fait-on dire aux chiffres…
JP Leloup