Conseil d’Etat : Notification prochaine… Enfin !

Après de longs mois d’attente, le Conseil d’Etat, saisi par M. PERELLE, vient de le renvoyer dans ses cordes en confirmant, le 27 février dernier, l’annulation des dernières élections…

Présenté par la presse locale comme une victime balayant les accusations portées contre lui, accablé des « arguties » de ses détracteurs, martyrisé par le Tribunal Administratif, incompris des juges (sans doute mal informés de la loi… eux), M. PERELLE vient d’être sévèrement rabroué.

En effet, tout ce que raconte la presse locale, directement ou indirectement inféodée au Maire « sorti », par l’intermédiaire de son « adjoint au maire chargé de la communication » et correspondant de l’Est Républicain en même temps, n’est pas parole d’évangile.

Tenons nous-en aux faits !

Notre équipe a présenté un recours au tribunal administratif, au vu de divers arguments fondés, et non pas d’élucubrations ou de preuves « inventées », et les élections ont été invalidées.
Certains arguments (inscriptions litigieuses sur les listes électorales…) n’ont pas été retenus par le Tribunal Administratif, car hors de son champ de compétence, mais les faits, réels, ont depuis fait l’objet d’autres actions efficaces.

Dans notre article du 07 octobre 2008 (Recours au Conseil d’Etat, les arguments…), vous pourrez retrouver l’intégralité des « prétentions » de l’avocat  de M. PERELLE, et nos arguments défendus par nos propres soins, sans recours à un avocat, compte tenu de la légitimité de notre requête !

Leur pertinence n’a eu aucun mal à convaincre et l’on se demande si ce recours n’avait pas pour objectif de gagner du temps  (ou peut-être autre chose…) pour M. PERELLE, quitte à en faire perdre à notre Ville.

Maintenant que le Conseil d’Etat vient de confirmer en séance le jugement du tribunal administratif, peut-on encore considérer que M. PERELLE est toujours une victime ou, au contraire, est-il coupable de négligence, d’incompétence, d’actions prohibées par la loi, en particulier selon l’article L52-1 du code électoral, qu’il ne peut méconnaitre en tant que »professionnel de la politique » ?

Les victimes ne seraient-elle pas plutôt dans nos rangs et dans ceux des citoyens ?

Victimes d’une année de retard dans l’application d’un jugement?
Victimes des interprétations de la presse qui ne nous a jamais demandé notre avis, ni  considéré nos arguments…

Nous attendons dans quelques jours la notification du jugement et nous vous confirmons notre engagement pour la Ville de St-Mihiel, au sein d’une EQUIPE plus que jamais d’UNION des énergies et des sensibilités.

A bientôt donc, pour que gagne notre Ville !

Xavier COCHET

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